Festival pluridisciplinaire , gratuit, en plein coeur du centre ville de Sens.
LE
FESTIVAL
Festival gratuit se déroulant du 11 juillet au 14 juillet 2014 au centre ville de Sens .
Cet évènement s'appuie ainsi sur la tradition d'une programmation danse qui avait trouvé son public. Il s'inscrit, ce faisant, dans une préoccupation de mutualisation des moyens techniques et financiers avec la Ville de Sens. Mais il s'insère aussi dans la célébration du 14 juillet ; le feu d'artifice, événement populaire, arrivant en point d'orgue d'une soirée riche en propositions artistiques d’une part et de la finale de la Coupe du Monde de football le 13 juillet à 21h00 d’autre part.
Par la diversité, l'ampleur, la qualité des propositions artistiques retenues et par sa démarche, citoyenne et soucieuse d'associer le public aux questionnements contemporains, il entend devenir un événement majeur du développement de la ville.
Vendredi 22 h cours du Palais Synodal
( annulée pour intempérie )
Le chorégraphe Thierry Malandain a réussi à développer une écriture en quête d’harmonie entre le moderne et le classique, l’histoire et le monde d’aujourd’hui. Le répertoire de sa troupe, dont les interprètes sont dotés d’une belle formation classique, alterne entre oeuvres de création pure et relecture très personnelle d’un certain patrimoine de la danse : on se souvient ainsi des versions de Roméo et Juliette, de Casse-Noisette, duBoléro ou de Magifique. Ce dernier triompha d’ailleurs à Chaillot et un peu partout dans le monde. Pour ce nouveau rendez-vous, Thierry Malandain jette son dévolu sur l’une des héroïnes les plus célébrées de la danse : Cendrillon. Avec pour compagnon de route Serge Prokofiev. Le chorégraphe réunit vingt danseurs sur le plateau et entend rester fidèle à la dramaturgie du conte, mettant en avant la quête d’un idéal, la vérité révélée, la dualité qui sommeille en chacun de nous. Et en Cendrillon, bien sûr. « Le spectacle est traité avec une économie de moyens, c’est-à-dire sans changements de décor, sans artifices, mais avec un plaisir certain, entraîné par l’humanité et la magie du conte, le luxe de la musique, mais aussi par le rire des scènes burlesques qui contrebalancent les épisodes oniriques ou malheureux. Bref, nous avons fait de notre mieux pour chasser les nuages et “accoucher d’une étoile qui danse” », résume Thierry Malandain. Cette Cendrillon a déjà tout pour (nous) plaire. / Philippe Noisette
Samedi 12 juillet
Voici la chorégraphie du FLASH MOB qui se déroulera le samedi 12 juillet 2014 à 14h00 devant la Cathédrale . N'hésitez pas à vous entrainer chez vous, et venez nombreux !
Musique by "John Newman" - "Love Me Again"
Mixé et filmé par Hugo
Carmen Intime 18h salle du Cerep , 8 rue Rigault
Un peu olé olé en apparence, cette Carmen en short et baskets, mais toujours sensuelle et mystérieuse, troublante et ensorcelante. Tant la proximité avec le public est grande, dans cette version inédite créée par Frédéric Roels pour quatre voix et un violoncelle.Non pas que le short élimé soit plus sexy que les frous-frous de la bohémienne sévillane. C’est un parti pris. La tenue bleue de gendarme portée par Don José tranche dans sa raideur...
NeWtOn , première partie de Gaëtan Roussel
C'est sous une pluie de pommes acerbes que Newton voit le jour.
Quand un certain Boris Bergman invite les membres du groupe à la Goutte d'Or pour rendre un hommage musical à Alain Bashung, ils répondent présents. "Gaby ! Oh ! Gaby !" enflamme la salle. C'est alors que le parolier décide de les faire jouer dans son rockumentaire consacré au défunt chanteur. Suivra un Maxi 45T ( Naïve ) sous la houlette de Jacky Chalard ( Big Beat Records ) dont le hasard les a fait se rencontrer des années après leur première collaboration. Ensemble ils enregistrent 4-titres du tandem Bergman/Bashung dont "les chansons sont propices à ce traitement rock'n'roll, tendance roots (...) et un pep que n'aurait pas reniés leur créateur" (Rock&Folk). Newton va plus loin dans sa démarche respectueuse envers Alain en offrant ce Vinyl.
Le stock s'écoule en un éclair...
En parallèle, le groupe écrit pour d'autres artistes... mais les copains entrent enfin en studio pour enregistrer leur album "Saudade" (sortie début mars 2014 chez Naïve) toujours sous la direction de Chalard. 12 titres efficaces, aux arrangements léchés mais sans renier leurs influences 60's et 70's, dont 3 textes signés Bergman. Les chansons sont épurées, malaxées, triturées et violentées pour qu'il n'en reste que l'essence d'un rock qui ne demande qu'à être distillé sur les scènes hexagonales.
Gaëtan Roussel
concert le samedi 12 juillet 21h , place de la Cathédrale
En 2008, il participe à l'écriture des chansons et à la production du dernier album d'Alain Bashung, Bleu pétrole, récompensé en 2009 auxvictoires de la musique. Gaëtan Roussel a écrit pour Rachid Taha et Vanessa Paradis et composé la musique de deux films de Benoît Delépine et Gustave Kervern : Louise-Michel et Mammuth. En 2009, il entame une carrière solo et sort Ginger, son premier album. Il remporte la victoire de la musique de l'album rock de l'année en 2011, lors de l'émission diffusée le mercredi 9 février sur France 4, ainsi que celle de l'interprète masculin et du meilleur album de l’année 2011 pour Ginger lors de l’émission diffusée le 1er mars 2011.
En 2011, il participe à l'album de reprises de chansons d'Alain Bashung intitulé Tels Alain Bashung en interprétant J'passe pour une caravane. Il produit également cette année-là le troisième album du groupe rock français Déportivo, Ivres et débutants, les ouvrant à un son plus pop et mélancolique.
En juillet 2013, aux Francofolies de La Rochelle, il présente le spectacle Re-Play Blessures2 dans lequel il réinterprète l'album Play blessures3d'Alain Bashung, coécrit avec Serge Gainsbourg.
Son deuxième album sort le 30 septembre 2013. Un premier single intitulé Éolienne sort pendant l'été4. Le second single est La simplicité
Dimanche 13 juillet 2014
18 h : Début du délire Solemnis. Le quatuor vocal, poilant et nordiste Solemnis, aux tee-shirts estampillés "Maroilles, le plus fin des fromages forts" donnent le ton.
Solemnis, Quatuor Vocal Déjanté est une histoire musicale, amicale qui dure depuis plus de 10 ans ! N'hésitez pas à parler d'oeufs... Euh ! d'eux... :)
Biographie
L'univers Solemnis fantaisiste et insolent est né de la collision improbable de quatre particules délirantes. Leur création polyphonique résulte d'une mystérieuse alchimie mariant la dérision, le burlesque et le côté absurde de la force...C'est tout en chanson que ces 4 voix et personnalités complémentaires vous propulse au cœur d'un spectacle détonnant !Fou rire garanti (piles vendues séparément).
Dimanche 13 juillet , 19 h place de la Cathédrale
Groupe Français né en 2007, The Moorings puise son inspiration dans ses racines irlandaises.
Initialement présentée en acoustique, la formation s’étoffe, s’électrifie en même temps qu’elle se lance dans l'écriture.
C'est en 2012 que The Moorings ouvrira pour le concert anniversaire des 50 ans de carrière du groupe irlandais The Dubliners à la Cigale, ainsi que pour les 30 ans du groupe The Pogues à l'Olympia.
Fidèles aux thèmes traditionnels du répertoire folk irlandais, The Moorings ressuscitent un songwriting anachronique en lui insufflant une solide dose d’énergie punk rock.
"Pints & Glory", le premier album de The Moorings est sorti le 17 octobre 2011. Un deuxième album devrait voir le jour en 2013.
« Depuis ce festival l'été dernier où nous avons joué pour la première fois avec The Moorings, je suis devenu un grand fan. Ils sont un mélange entre The Pogues, The Dubliners et eux-mêmes. En d'autres termes ils sont uniques, ils ont leur propre son tout en incorporant d'autres influences d'un style Irish/punk. Je vais vous faire une confidence, mon plus grand souhait serait de produire leur album... Nous avons tous des rêves n'est-ce pas? »
Eamonn Campbell - The Dubliners
21h coup d'envoi
de la finale de la coupe du monde de football sur l'écran
géant place de la Cathédrale
Lundi 14 juillet
Place Drapès , foire artistique de 10 h à 18 h
11h30 - 12h30 place de la Cathédrale
Première partie des Cats on Trees
Joli Falzar est un groupe originaire de Troyes alliant une musique énergique & festive à des textes sur la vie quotidienne, en société notamment.
Biographie
L'histoire de Joli Falzar :
À l'origine, le groupe originaire de Troyes fût composé en 2009 par l'auteur, guitariste et chanteur Jean et par le batteur Léo, amis d'enfance. La formation ne tarde pas à être rejoint par le trompettiste Anatole et le guitariste tromboniste Gabriel, tout deux cousins de Jean.
Le dernier membre constituant la formation actuelle arriva en 2011, il s'agit du bassiste Alexis.
Dans la lignée de la chanson française notamment de la Rue Ketanou ou encore la Ruda, Joli Falzar compte bien continuer sur ces pas la, en alliant une musique énergique et festive à des textes évoquant des sujets du quotidien.
Plébiscités par de multiples organisations, la véritable première date majeure fut la première partie de Zebda à St Florentin le 08 juillet 2012. Un aboutissement ? Non. Depuis, ils ont effectué plus de 130 concerts (50 en 2013) dont les premières parties de Boulevard des Airs, la Femme, ou encore des scènes partagées avec les Fatals Picards, Broussaï...
Un premier Ep, "Les Mains dans les Poches" est sorti le 08 février dernier.
Ils ont aimé Joli Falzar :
"Culottés les p'tits gars de Joli Falzar" - Étienne Clément dans le Journal d'Haute Marne - Juillet 2012
"Aucun doute, l'univers des chansons cuivrées et festives de Joli Falzar séduit au-delà des frontières du département" - Aurore Chabaud dans l'Est Éclair - Janvier 2014
Cats on Trees , concert le 14 juillet 21h place de la Cathédrale
Né en 2007, révélé par des prestations scéniques et un premier EP repérés par la presse spécialisée. Épris de liberté ces félins-là ont pris leur temps. Le temps d’aller au fond des choses. Trois ans durant, Nina et Yohan ont laissé mûrir leur projet d’album, testant, gommant, recommençant, explorant. Pas en chercheurs maniaques plutôt en philosophes Savourant chaque moment pour en tirer le meilleur. Le vécu comme matière première. Des petits contes du quotidien sur ce qui compte vraiment. Du très perso qui devient de l’universel. Le tout greffé sur un squelette innovant : une ossature batterie-piano aux émotions inédites. Mais logiques. La combinaison d’essences essentielles dans l’histoire de la musique, du shamanisme au romantisme, les battements du cœur et les flâneries de l’âme.
Au fil des rencontres, l’album prenant corps, se sont ajoutés d’autres regards, d’autres sons, comme ces intenses vagues de cordes qui étoffent le propos. Celles d’un véritable orchestre avec la complicité d’Albin de la Simone aux arrangements de cordes. Ou celles des guitares acoustiques de Pierre Rougean et Jean-Christophe Urbain, coréalisateurs de l’album. Une autre ampleur. Un autre écho. Alternent pour finir de la pop brillante ou légère, toujours bien enracinée. L’envie d’esquisser quelques pas de danse ou de chanter à tue-tête. Des pointes d’emphase larges comme des bras grands ouverts. Des fonds de mélancolie aussi, très vite balayée, dispersés et éparpillés en éclats de miroirs brisés. Ça coupe, ça brille, ça renvoie des fragments d’images, et ça finit par inventer de nouvelles perspectives.
